Et si l’influence ne se mesurait pas seulement en termes de nombre d’abonnés, d’engagement et de notoriété? Les marques ont tendance à favoriser les collaborations avec des influenceurs dont la visibilité n’est plus à établir, célèbres de par leurs audiences très larges. Mais depuis quelques temps, on voit apparaître un autre visage de l’influence numérique : celui des nano-influenceurs.

La communauté d’un nano-influenceur est plus minime que celle d’une star des réseaux sociaux (on parle d’entre 1 000 à 5 000 abonnés) mais elle est :

  • plus accessible, car le contenu est moins léché, moins stagé;
  • plus engagée, car moins sollicitée, moins « fatiguée »;
  • plus nichée, car moins éparpillée géographiquement.

Bref, c’est du bon vieux bouche-à-oreille. Ce n’est pas pour rien que les avis, laissé sur le web par des consommateurs comme vous et moi, sont toujours aussi lus. Le nano-influenceur n’est pas rémunéré et agit donc avec sincérité, et ça se sent. Il est conscient qu’il peut favoriser, à sa façon, le succès d’un projet, d’une marque ou d’un organisme.

Pour les plus visuels comme moi, on peut comparer ainsi les résultats par type d’influenceur :

  Visibilité Engagement Conversion
Méga influenceur +++++ + +
Macro influenceur +++ ++ +
Micro influenceur ++ +++ ++
Nano influenceur + +++ ++++

On pourrait ainsi voir naître et imaginer une belle collaboration entre un OBNL qui fait la promotion de la protection de l’environnement et un nano-influenceur adepte, par exemple, de la philosophie zéro déchet. Et des relations comme ça, ça vaut cher.

Créer des liens forts entre les gens, on aime ça chez Atypic. Et si vous avez envie d’explorer le monde des influenceurs, on est prêt à sortir notre lampe de poche pour vous guider!

Pour aller plus loin :

Photo : Elijah Macleod sur Unsplash

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